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Maladie du foie gras : un premier traitement approuvé, ce que l'on sait

    Un premier traitement a été autorisé aux États-Unis contre la maladie du foie gras, qui touche environ 20% de la population mondiale.C’e...

 


 Un premier traitement a été autorisé aux États-Unis contre la maladie du foie gras, qui touche environ 20% de la population mondiale.C’est une avancée pour des millions de personnes. Comme le rapporte BFMTV, l’Agence des médicaments (FDA) américaine a annoncé l’autorisation d’un premier traitement contre la maladie du foie gras, autrement appelée «maladie du soda». Elle touche des millions d’Américains (six à huit millions), mais également des Français, environ 220 000. Au total, près de 20% de la population mondiale. Développé par Madrigal Pharmaceuticals, ce traitement est autorisé chez les adultes atteints de stéatohépatite non alcoolique (NASH), et souffrant de fibrose du foie.

Cette maladie consiste notamment à une accumulation anormale de graisse dans le foie, ce qui déclenche une inflammation chronique de cet organe. Une réelle avancée, ont souligné les autorités car d’ici l’année prochaine, la NASH pourrait devenir la première cause de greffe du foie aux États-Unis. Si en France le nombre de malades est bien moins important pour le moment qu’aux États-Unis, la Société française de gastro-entérologie (SNFGE) craint que le chiffre de 220 000 malades ne double d’ici 2030.Des risques de cancer du foie Les personnes les plus à risque restent celles souffrant d’obésité et celles atteintes de diabète 2. Une membre du service Endocrinologie-Diabétologie-Nutrition de l'hôpital Lyon Sud faisait d’ailleurs le lien avec l’obésité en 2022 sur BFMTV. Dans cette maladie, le foie stocke les gras et les sucres consommés en trop grande quantité. Il est donc possible de l’éviter, mais surtout de l’atténuer, d’abord en pratiquant une activité sportive régulière, mais également en réduisant sa consommation de boissons sucrées (notamment les sodas) ou aliments sucrés.Si dans quatre cas sur cinq, la maladie revêt une forme bénigne, pour les personnes atteintes qui ne font pas attention, les risques peuvent être très importants comme une cirrhose, une fibrose voire un cancer du foie. Pour l’heure, ce traitement va être autorisé aux États-Unis, mais pas en France. Les médecins réclament donc que davantage de dépistages soient réalisés pour éviter d’en arriver à des cas graves. Seul problème : cette maladie est silencieuse et il est très facile de passer à côté. reformule Aux États-Unis, un premier traitement a été approuvé pour traiter la stéatohépatite non alcoolique (NASH), également connue sous le nom de maladie du foie gras, qui affecte environ 20% de la population mondiale. Cette avancée, annoncée par la FDA, concerne des millions de personnes, y compris des Américains (six à huit millions) et des Français (environ 220 000). Le traitement développé par Madrigal Pharmaceuticals est destiné aux adultes souffrant de NASH et de fibrose hépatique.

La NASH se caractérise par une accumulation anormale de graisse dans le foie, provoquant une inflammation chronique. Cette autorisation est saluée comme une avancée significative, car la NASH pourrait devenir la principale raison de transplantation hépatique aux États-Unis d'ici l'année prochaine. Bien que le nombre de cas en France soit actuellement inférieur à celui des États-Unis, la Société française de gastro-entérologie craint une augmentation jusqu'à 220 000 cas d'ici 2030.

Les personnes obèses et celles atteintes de diabète de type 2 restent les plus à risque. La prévention et l'atténuation de cette maladie impliquent des activités physiques régulières et une réduction de la consommation de boissons sucrées et d'aliments riches en sucre. Bien que la maladie soit souvent bénigne, elle peut entraîner des complications graves telles que la cirrhose et le cancer du foie pour les personnes qui ne la traitent pas correctement.

Bien que le traitement soit approuvé aux États-Unis, il n'est pas encore disponible en France. Les médecins demandent donc un dépistage plus précoce pour prévenir les cas graves, car la maladie peut souvent passer inaperçue.

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