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Leur compagnie vaut de l’or : la vente illégale de guépards prospère sur Internet

     Une enquête de l’organisation TRAFFIC révèle que le guépard, espèce considérée comme vulnérable, fait l’objet d’un commerce important, ...

 


  Une enquête de l’organisation TRAFFIC révèle que le guépard, espèce considérée comme vulnérable, fait l’objet d’un commerce important, venu d’Asie. Leur rapport pointe du doigt les réseaux sociaux ou les plateformes de e-commerce, où peuvent s’effectuer ces transactions illégales.C’est le mammifère terrestre le plus rapide du monde, 110 km/h, et son exotisme attire les convoitises. Le magazine Sciences et Avenir s’est intéressé aux commerces des guépards, qui sont vendus sur Internet. Des enquêteurs de l’organisation TRAFFIC ont fouillé plusieurs sites Web liés à ce commerce illégal. Leurs résultats ont mis en exergue l’importance des réseaux sociaux dans ce processus. Une situation délicate tant leur nombre se réduit : les guépards ne seraient plus que 6500 dans la nature, répartis sur 9% de leur territoire historique.

L’espèce a d’ailleurs été placée dans la catégorie « Vulnérable » de la liste rouge de l'Union internationale pour la conservation de la nature. Il est par ailleurs interdit de faire la chasse aux guépards, sauf pour les quotas annuels pour la chasse aux trophées. Mais l’enquête menée en ligne par TRAFFIC a démontré que ce commerce semblait s’effectuer à une échelle beaucoup plus importante. En six mois, l’organisation a relevé 222 URL liées au commerce de l’animal.Un trafic venu d’Asie 83 de ces adresses informatiques sont soupçonnées d’être liées à des propriétaires privés. 97 autres ne cachaient pas leur intention de vendre des guépards vivants. « 70 % de toutes les URL ont été trouvées sur les plateformes de réseaux sociaux. 26 % des liens ont été trouvés sur des plateformes de e-commerce et des sites Web dédiés », a détaillé TRAFFIC dans un communiqué. C’est en Asie que se concentrent la majorité de ces URL (68%), notamment en Asie de l’Ouest (66%). L’Afrique compte pour 11% du commerce, les États-Unis pour 15% et l’Europe pour 1%. Pour les acheteurs, ils se concentrent en majorité aux Émirats arabes unis (32%), en Arabie saoudite (25%) ou au Koweït (9%). Cependant, les données officielles des pays ne correspondent pas aux URL. L’Arabie saoudite n’a, par exemple, pas déclaré d’importation de guépards depuis 2006. Le Yémen, lui, n'a signalé aucune exportation ou importation de guépards vivants depuis 1975. Il s’agit donc d’importations illégales ou de naissances non réglementées. L’organisation TRAFFIC demande donc des investigations dans les pays précités. Une récente enquête menée par l'organisation TRAFFIC met en lumière un commerce illicite important concernant le guépard, une espèce classée comme vulnérable. Ce rapport pointe du doigt les réseaux sociaux et les plateformes de commerce en ligne, qui servent de vecteurs pour ces transactions illégales. Le guépard, mammifère terrestre le plus rapide du monde avec une vitesse de pointe de 110 km/h, suscite un intérêt particulier en raison de son exotisme, ce qui alimente la demande. Selon le magazine Sciences et Avenir, des investigations ont été menées sur les ventes de guépards sur Internet, révélant l'ampleur de ce commerce clandestin.

Les résultats de l'enquête de TRAFFIC soulignent l'importance des réseaux sociaux dans ce processus, alors que la population de guépards est en déclin, ne comptant plus que 6500 individus répartis sur seulement 9% de leur territoire historique. L'espèce est classée comme "Vulnérable" sur la liste rouge de l'Union internationale pour la conservation de la nature, et la chasse aux guépards est strictement interdite, sauf pour les quotas annuels destinés à la chasse aux trophées. Cependant, l'enquête en ligne menée par TRAFFIC révèle un commerce bien plus étendu que prévu, avec 222 URL liées au commerce de ces animaux en seulement six mois.

Une grande partie de ce trafic provient d'Asie, notamment de l'Asie de l'Ouest, avec 68% des URL localisées dans cette région. Les États-Unis et l'Europe sont également impliqués, bien que dans une moindre mesure. Les principaux acheteurs se trouvent principalement aux Émirats arabes unis, en Arabie saoudite et au Koweït. Cependant, les données officielles des pays ne correspondent pas aux URL trouvées. Par exemple, l'Arabie saoudite n'a pas déclaré d'importation de guépards depuis 2006, et le Yémen n'a signalé aucune exportation ou importation de guépards vivants depuis 1975, ce qui suggère des activités clandestines ou des naissances non déclarées.

TRAFFIC appelle donc à des investigations dans ces pays afin de mettre fin à ce commerce illégal et de protéger cette espèce en danger.

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