Kumiko Kotera, chercheuse et défenseure d'une science collaborative, a récemment plaidé pour une approche scientifique qui dépasse les ...
Kumiko Kotera, chercheuse et défenseure d'une science collaborative, a récemment plaidé pour une approche scientifique qui dépasse les frontières géopolitiques et les divisions internationales. Selon elle, la recherche a un pouvoir unique de renforcer les liens humains en rassemblant les individus au-delà de leurs nationalités et de leurs intérêts politiques.
Kotera souligne que la science, lorsqu'elle est menée de manière inclusive et ouverte, peut transcender les obstacles imposés par des agendas politiques et des conflits géopolitiques. Elle plaide pour un monde où la coopération scientifique est valorisée, permettant ainsi de résoudre des problèmes globaux, qu'ils soient liés à la santé, au climat, ou aux nouvelles technologies. Pour Kotera, les chercheurs doivent se considérer comme des citoyens du monde, unis dans un objectif commun d'avancement de la connaissance pour le bien de l'humanité.
Elle met également en avant le fait que cette vision collaborative de la science peut avoir un impact direct et positif sur les sociétés, créant des ponts entre des cultures et des pays qui, autrement, pourraient être séparés par des différences profondes. L'appel de Kotera est donc un appel à l'action pour une science sans frontières, où les échanges et la coopération priment sur les rivalités et les clivages politiques.
Cette vision optimiste et humaniste de la recherche trouve un écho dans les défis actuels, où la collaboration internationale est essentielle pour faire face aux crises mondiales. Kotera nous invite à repenser la science comme un outil de rapprochement plutôt que de séparation, un langage universel capable de connecter les êtres humains, quel que soit leur passé ou leur contexte géopolitique.
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